jeudi 25 septembre 2008

RichMedia : le succès

Je reprends telle quelle une information parue sur l'Atelier BNP Paribas qui me permet d'enfoncer un peu le clou "Rich Media" comme je le fais ici depuis quelques mois, dans des articles qui croisent à plusieurs reprises le programme de communication de Sonic Foundry, également à l'origine de l'"étude ci-dessous.


Plébiscite pour les cours magistraux en streaming

Aux Etats-Unis, l'enregistrement des leçons et leur mise en ligne sur Internet fait des émules. Les étudiants seraient prêts à payer pour un tel service.

Publié le 23 Septembre 2008
Image Wisconcin

Les étudiants américains demandent la rediffusion de leurs cours sur Internet. Selon une étude réalisée conjointement par la société Sonic Foundry et l'institut de E-Business de l'université du Wisconsin (UWEBI), plus de 80 % des pré-doctorants aux Etats-Unis sont favorables à l'idée que les cours magistraux auxquels ils assistent soient enregistrés puis mis en ligne sur le Web. Fait intéressant : plus d'un étudiant sur deux se dit carrément prêt à payer pour un service de vidéos de cours à la demande. "Ces résultats confirment l'existence d'une forte demande de la part des élèves pour des services d'enseignement en streaming" souligne Raj Veeramani, un enseignant de l'UWEBI.

Ecouter sans prendre de notes

Les bénéfices que les personnes interrogées espèrent retirer de tels dispositifs sont divers.

  • De nombreux élèves sont sensibles à l'idée de pouvoir rattraper des cours auxquels ils n'ont pas pu ou voulu assister.
  • Ils expliquent qu'un tel procédé leur permettrait également d'être plus attentif à ce qu'expliquent les enseignants lorsqu'ils sont présents. "Il peut être difficile pour un élève de tout comprendre lorsqu'il doit simultanément prendre des notes. L'enregistrement et la rediffusion des leçons permettent aux élèves de se concentrer sur l'essentiel pendant les cours".
  • La mise en ligne des cours pourrait enfin fournir un support de révision plus adapté, notamment en période d'examens.

Des élèves prêts à payer

Reste aux universités souhaitant proposer de tels services à décider de la manière dont elles pourraient amortir les investissements nécessaires.

  • Celles-ci pourraient décider de les intégrer directement dans les frais de scolarité.
  • Elles pourraient préférer créer des plates-formes de streaming où les vidéos de cours seraient payantes à l'unité ou selon un système d'abonnement.

"Quelle que soit l'option retenue, les universités sont de plus en plus conscientes des bénéfices qu'elles peuvent retirer de la transformation de leurs amphithéâtres en salles de classe virtuelles et interactives".

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